Crèmes de jour, de nuit, soins antirides miracles, shampooings aux mille vertus, gels douche relaxants… Avons-nous vraiment besoin de tous ces produits ? On sait déjà qu’ils font souffrir notre portefeuille et la planète… Ne devrait-on pas les consommer avec plus de discernement ? La solution ? La slow cosmétique. Le principe : on revient à l’essentiel !
Le terme « slow cosmétique » a été inventé par Julien Kaibec, un passionné de beauté et de cosmétiques bio qui enseigne l’aromathérapie en France et en Belgique. Le terme est un clin d’œil au mouvement « Slow Food » qui prône un retour à une cuisine saine et éthique.
La slow cosmétique se veut aussi bonne pour le corps que pour l’environnement. Elle est aussi une réponse directe aux abus des grands groupes de cosmétiques et des publicitaires qui, en plus de créer un besoin là où il n’y en a pas forcément, promettent monts et merveilles aux consommateurs
La slow cosmétique repose sur des principes simples et pour le moins compréhensibles : connaissance, bon sens et éthique. 3 mots d’ordre auxquels Océopin, marque française de cosmétique bio, adhère totalement.
Cette façon d’appréhender les produits de beauté demande une bonne connaissance de sa peau, de son fonctionnement et de ses besoins. Les produits de beauté doivent répondre aux besoins de la peau, et ne pas en créer de nouveaux.
Il faut aussi limiter le nombre de produits utilisés et leur rester fidèle pour leur donner la possibilité d’agir au mieux. L’éthique est aussi l’un des chevaux de batailles de la slow cosmétique. Les produits de beauté doivent être produits et utilisés dans le respect de la Nature et de l’Homme. Dans cette vision, la slow cosmétique bannit tous les ingrédients issus de la chimie de synthèse et de la pétrochimie ainsi que tout ingrédient potentiellement polluant.
Découvrez en podcast l’émission « La Slow Cosmétique » d’Isabelle Brès sur SUD RADIO avec pour invitée Marina Berger, la cofondatrice d’Océopin !