Aujourd’hui la mondialisation atteint ses limites et nous nous questionnons de plus en plus sur le sens de nos vies prises dans une vitesse étourdissante. La slow life est un art de vivre qui consiste à ralentir le rythme au quotidien pour mieux apprécier les choses et être plus heureux. Ce mouvement se décline dans plusieurs sphères de la vie : la slow food, le slow parenting, le slow business mais aussi la slow cosmétique.
Ralentir le rythme, respirer…
Se poser, prendre du recul sur ce qu’on fait et ce qu’on vit et se demander ce qui est important pour soi. La période « suspendue » actuelle nous exhorte à changer nos modes de vie et peut-être de pensées. L’idée étant de privilégier dans sa vie la qualité à la quantité. Pour cela, il est indispensable de ralentir nos rythmes afin de ne pas se sentir débordé et ne pas s’oublier. La slow life apporte de nombreux bienfaits physiques et psychiques. Ralentir le rythme contribue largement à notre épanouissement personnel et à notre bonheur. Cela s’en ressent sur notre santé puisqu’en renforçant notre bien-être jour après jour, on diminue notre stress, on améliore notre sommeil et on mange mieux. Le slow living ne consiste pas à vivre au ralenti mais plutôt à faire les choses à un rythme qui nous correspond vraiment en essayant de se détacher de certaines injonctions du monde moderne. Etre présent à ce que l’on fait, que l’on ait une personnalité hyperactive ou contemplative. Chacun selon ses goûts et ses envies peut y trouver un épanouissement personnel. Revoir son rapport au temps pour vivre à un rythme plus lent, moins frénétique. Cette philosophie de vie permet de s’ancrer dans le moment présent, de ressentir plus son environnement et de recréer du lien humain plus qualitatif. Ralentir le rythme, apprécier chaque moment, c’est l’essence même de la vie.
Dans la Rome Antique, « l’Otium » signifiait « la période durant laquelle on agit sur son bien-être intérieur ». Cette période de temps libre, éloignée du quotidien, consacrée à des activités intellectuelles ou créatives, est devenue un enjeu social pour certains sociologues. Sénèque louait les mérites de l’otium et le considère comme la caractéristique de l’homme vraiment libre. C’est un temps de loisir personnel aux implications intellectuelles, vertueuses ou morales avec l’idée d’éloignement du quotidien et des affaires. C’est un peu ce que nous vivons en confinement, certes de manière forcée mais qui peut se révéler être une chance pour nous dépasser et faire éclore une nouvelle créativité.
Se recentrer sur l’essentiel
Marre du speed du lever au coucher, ordinateurs et smartphone toujours à portée, les mains scotchées aux écrans, alors qu’elles pourraient caresser, sculpter, virevolter ! Marre des impératifs du toujours plus, toujours plus rentable, toujours plus performant. Au mépris de la vie personnelle, intime, familiale, amoureuse, amicale… Pourquoi ce besoin de ralentir alors que, depuis le XVIIIe siècle, l’humanité ne cesse d’accélérer sa marche, allant de découverte en découverte, de progrès en progrès ? Parce que nous avons peut-être atteint notre point de rupture. Aujourd’hui, plus que jamais, nous ressentons le besoin de nous recentrer sur l’essentiel, sur ce qui nous anime vraiment, sur ceux que nous aimons. Revenir à l’essentiel passe nécessairement par un retour à la nature. Cela signifie faire le point sur ses vrais centres d’intérêt, sur ce qui compte vraiment pour soi.
Dans le choix de ce que l’on consomme, dans le choix de ses cosmétiques cela compte aussi. C’est pourquoi chez Océopin nous avons dès l’origine crée des soins bio et naturels qui sont autant d’essentiels beauté qui constituent une routine facile à adopter sur le mode du « less is more », « moins c’est plus » ! Un nettoyant, une crème et une huile suffisent pour prendre soin de sa peau quotidiennement à la maison sans devoir multiplier les catégories de produits inutiles. Utiliser des produits essentiels et durables, issus de la nature, c’est notre philosophie de vie.